Au moment où la « mode » semble au dénigrement collectif en dépit des efforts consentis par les plus hautes autorités pour hisser le pays au niveau des plus grands, le Coordinateur général des Affaires présidentielles invite les Gabonais à ne pas se relâcher pour promouvoir « ce qui fonctionne bien dans notre pays ».
Au Gabon tout ne va pas mal comme tentent désespérément de le faire croire certains sur les réseaux sociaux et certains médias. Notamment à travers ce qu’un observateur de la vie politique gabonaise perçoit comme « un travestissement pervers de la réalité alimentée par des opposants et des soi-disant cyberactivistes qui vivent en dehors de la réalité, bien souvent à des milliers de kilomètres de chez nous et qui confondent monde réel et monde virtuel ».
Or, défend une majeure partie de la population, ces 10 dernières années, de nombreux efforts ont été faits en matière de développement du pays et d’amélioration des conditions de vie des populations à travers des réformes de plus en plus audacieuses. Des réformes initiées sous l’impulsion du président de la République, Ali Bongo Ondimba, et dont l’opportunité est reconnue au niveau international par les différents partenaires du Gabon, à l’instar du FMI qui a récemment consenti à renouveler son soutien financier à l’État gabonais.
Et au sommet de l’État, on assure que ces efforts vont s’intensifier dans le cadre du Plan d’accélération de la transformation (PAT) de l’économie. Seulement, dans un tweet le 17 août 2021 Noureddin Bongo Valentin a précisé qu’« intensifier nos efforts pour améliorer ce qui doit l’être ne nous empêche pas de reconnaître ce qui fonctionne bien dans notre pays ».
Pour le Coordinateur général des Affaires présidentielles, s’agissant des choses qui fonctionnent et pour lesquelles les Gabonais doivent être fiers « les exemples abondent ». Il suffit d’être honnête pour les voir.
« Il faut donc arrêter de voir le verre à moitié vide. Plutôt regarder le verre à moitié plein. Car le verre gabonais est beaucoup plus rempli que partout ailleurs sur le continent », lance quelque peu dépité notre observateur.