À l’occasion de Journée internationale des forêtscélébrée chaque 21 mars, le président de la République considéré comme un des chefs d’État parmi les plus impliqués dans la préservation de l’environnement a réitéré sa détermination à faire de la forêt équatoriale un maillon essentiel dans la lutte contre le réchauffement climatique.
Développement, oui…mais préservation de la nature d’abord !
Comme chaque année depuis le 21 mars 2013, date de sa première édition à la suite de la résolution prise par l’Assemblée générale des Nations unies le 28 novembre 2012, dimanche, le Gabon a célébré laJournée internationale des forêts. Une nouvelle fois, Ali Bongo Ondimba a souhaité marquer le coup et ne pas laisser passer l’occasion d’inviter les peuples du monde et particulièrement ses homologues à veiller à la conservation de la nature en dépit des projets de développement pouvant exister dans chaque pays.
Or, selon Ali Bongo Ondimba, s’agissant de la forêt, maillon essentiel dans la lutte contre le réchauffement climatique, « tout doit être fait pour la protéger ». Pour le chef de l’État, l’avenir même des Nations en dépend.
Pour sa part, il n’a pas manqué d’assurer que « le Gabon est résolument engagé dans la refonte de son modèle afin de concilier développement économique et impératif écologique ».
« À l’occasion de la Journée internationale des forêts, je veux redire la détermination du Gabon à faire de la forêt équatoriale, l’un des deux poumons verts de la planète qui recouvre 88% de notre territoire national, un allié dans la lutte contre le réchauffement climatique », a par ailleurs posté le chef de l’État sur sa page Facebook dimanche.