Ce 1er décembre 2021, le Président de la République Gabonaise, Ali Bongo Ondimba a ouvert le 35e congrès de la conférence internationale des Barreaux. Pour le Chef de l’État gabonais, la tenue de cet évènement au Gabon traduit l’attachement de son pays au droit et au libertés publiques.
C’est à la Cour Constitutionnelle que le Président gabonais a eu l’honneur d’ouvrir le 35e congrès de la conférence internationale des Barreaux (CIB). La CIB a pour objet de créer une structure de coopération entre les Barreaux de pays de tradition juridique commune, c’est-à-dire essentiellement les Barreaux francophones. Elle groupe des Barreaux affirmant un idéal d’indépendance et dont les organes directeurs sont démocratiquement désignés par les Avocats eux-mêmes.
Dans le respect de l’autonomie des Barreaux, elle vise à les aider dans leur action en vue de développer un État de Droit dans chacun de leur pays, elle entend aussi mettre en œuvre la notion du caractère universel des Droits de l’Homme et en particulier, les Droits de la Défense.
Pour Ali Bongo Ondimba, le fait que ce soit son pays qui abrite ce 35e congrès est le signe que le droit et les libertés publiques sont bien présents au Gabon. Placé sous le thème » Le droit et la justice à l’épreuve du Covid-19 « , ce 35e congrès se déroulera pendant une durée de trois jours. Au cours de ces trois jours, auront lieu des rencontres, des échanges et des travaux sur des problématiques communes.
