Depuis le lancement du programme Gabon-Égalité, plusieurs mécanismes sont mis en œuvre afin de sensibiliser le plus grand nombre sur l’égalité homme-femme. Dernièrement, c’est la série événement « Le Chic, le choc, le chec » qui a été lancée dans le but d’accentuer la sensibilisation. Ce vendredi 30 décembre 2022, en sa qualité de responsable en communication de Gabon Égalité, Jessye Ella Ekogha était au Dafreshmorning sur Urban FM pour faire la promotion de cette série événement qui séduit les amoureux du petit écran.
Ce matin, sur les ondes de la radio Urban FM le porte-parole de la Présidence de la République Gabonaise, Jessye Ella Ekogha est longuement revenu sur les motivations qui ont amené les autorités gabonaises à organiser la cérémonie de lancement de la série » Le Chic, le choc, l’échec « , les contours de la réalisation ainsi que les perspectives de diffusion.
Prenant la parole dans les locaux de la radio la plus hot de la capitale, Jessye Ella Ekogha a tout d’abord souligné la volonté de ne rien cacher, de ne pas occulter les sujets qui fâchent afin que chacun se retrouve et que les situations habituelles soient mises à l’écran et que les langues se délient. Pour lui, c’est la meilleure manière de faire en sorte que les victimes et leurs proches brisent le plafond de verre en prenant la parole.
Le communicant en chef du palais du bord de mer n’était pas seul lors de son passage au Dafreshmorning. Il était accompagné du scénariste M.Ondo, qui a donné quelques détails sur cette série événement. En effet, il a indiqué que la production était 100% gabonaise avec des acteurs gabonais.
Pour finir, Jessye Ella Ekogha a apporté quelques éclaircissements sur ce qui se dit ici et là dans les quartiers concernant la place de l’homme qui est remis en cause dans le foyer. Sur ce sujet, il a rappelé que l’égalité ne signifie pas que l’epoux perd pour autant son rôle de chef de famille, mais simplement l’opportunité de corriger certaines injustes ou comportements qui n’avaient pas plus lieu d’être. Le but est de créer des conditions où la femme gabonaise se sent plus en sécurité et puisse être épanouie.