Contrairement aux allégations mensongères publiées dans sa parution du 10 mars par le journal «La Une», ni la Première Dame Sylvia Bongo Ondimba et encore moins la fondation éponyme dont elle est la présidente n’ont signé un partenariat avec l’Agence française de développement (AFD), censé leur permettre de bénéficier d’un quelconque financement pour ses différentes activités au profit des populations gabonaises.
Preuve de ce que les nombreuses actions posées par la Première Dame au profit des populations gabonaises ne passent pas inaperçues, la Fondation Sylvia Bongo Ondimba pour la Famille (FSBO) fait à nouveau ces derniers jours l’objet d’attaques de la part de personnes bien mal informées sur les valeurs défendues par l’épouse du chef de l’État et le combat qu’elle mène depuis plusieurs années pour le bien-être de ses compatriotes. Ce mardi 10 mars, le journal privé gabonais «La Une» a cru bon de l’accuser d’entretenir une collusion avec l’AFD.
À travers un titre aussi pompeux que racoleur, le média a pondu un article mensonger dans lequel il est question d’un prétendu soutien de l’organisme français au profit de la FSBO. Une prétendue collaboration censée permettre le financement des activités initiées par la Première Dame.
«Les allégations contenues dans cette publication sont fausses. La Fondation SBO n’a jamais tissé de partenariat avec l’AFD ni reçu de financement de cet organisme», assure la fondation dans un communiqué.
La FSBO qui souhaite éviter tout amalgame après les contre-vérités publiées par «La Une», précise par ailleurs que ses seuls partenaires, notamment sur le projet «M-Santé» qui vise à améliorer la santé maternelle et infantile au Gabon, sont le ministère de la Santé et l’ONUSIDA. Pour ce qui est de «Zero Mothers Die», la fondation de la Première Dame indique que ce projet a uniquement été pressenti comme un partenaire opérationnel.
Voici qui permet de rétablir la vérité.