Alors que la rumeur sur une éventuelle suppression du second tour du Baccalauréat a enflé ces derniers jours donnant lieu à des mouvements d’humeur d’élèves dans certains établissements scolaires de Libreville et de l’intérieur du pays, le ministère de l’Éducation nationale assure qu’il n’en est rien.
La rumeur avait enflé ces derniers jours, y compris sur les réseaux sociaux, donnant lieu à quelques mobilisations d’élèves dans certains établissements scolaires de la capitale et à l’intérieur du pays. Pourtant, Théodore Koumba l’assure : la réforme envisagée du second tour du Baccalauréat ne sera pas appliquée. Du moins, pas cette année.
«L’administration de l’Éducation nationale n’a reçu aucune instruction de sa hiérarchie pour la mise en application de ladite réforme cette année», réagit dans un communiqué le secrétaire général du ministère l’Éducation nationale, chargé de la Formation civique.
Si Théodore Koumba tient à rassurer parents et apprenants, il informe que son administration n’envisage pas moins de continuer à échanger avec les partenaires sociaux du secteur, en vue de juger de la pertinence des réajustements à opérer à court, moyen et long terme sur le système éducatif.